Près du feu calvaire
Posté par europeanwolf le 26 mai 2012

Poème avant la consécration de la centurie des Wandervögel à Rogau (25 mars 1919)
Parmi les cimes des arbres penchés, leurs écorces à moitié mortes et desséchées, le silence se fait entendre.
Parmi les feuilles éclaircies par le soleil nouveau du matin, leur clarté presque imaginaire, apprend à mes yeux la beauté naturelle.
Parmi l’herbe tapissant le sol sous mes pieds nus, les fleurs sont naissantes et fébriles. La petite brise matinale fait envoler les pétales les plus faibles.
La loi de la nature s’applique également aux hommes, qui, comme la flore, a ses faibles et ses plus forts ; et comme elle, seuls les forts survivent !
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Posté par europeanwolf le 26 mai 2012
Poème avant la consécration de la centurie des Wandervögel à Rogau (25 mars 1919)
Cet article a été publié le Samedi 26 mai 2012 à 10 h 05 min et est catégorisé sous Chants et Poèmes. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.
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